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Un été au ciné du 25 au 30 janvier

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Ecrit le 25 janvier 2016 par la province Sud
A ne pas manquer Un été au ciné avec le programme de cette semaine dans les communes de la province Sud ! Toutes les séances commencent à 19h15.
 
  • mardi 26  janvier

Dumbéa sur Mer – Maison de quartier Apogoti

Pixels

de Chris Columbus
avec Adam Sandler, Michelle Monaghan

À l’époque de leur jeunesse, dans les années 80, Sam Brenner, Will Cooper, Ludlow Lamonsoff et Eddie « Fire Blaster » Plant ont sauvé le monde des milliers de fois… en jouant à des jeux d’arcade à 25 cents la partie. Mais aujourd’hui, ils vont devoir le faire pour de vrai… Lorsque des aliens découvrent des vidéos d’anciens jeux et les prennent pour une déclaration de guerre, ils lancent l’assaut contre la Terre. Ces mêmes jeux d’arcade leur servent de modèles pour leurs attaques. Cooper, qui est désormais Président des États-Unis, fait alors appel à ses vieux potes pour empêcher la destruction de la planète par PAC-MAN, Donkey Kong, Galaga, Centipede et les Space Invaders… Les gamers pourront compter sur l’aide du lieutenant-colonel Violet Van Patten, une spécialiste qui va leur fournir des armes uniques…

  • mercredi 27 janvier

Boulouparis – Jardin du centre socio-culturel

Paddington

de Paul King
avec Guillaume Gallienne, Hugh Bonneville

Paddington raconte l’histoire d’un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la recherche d’un foyer et d’une vie meilleure. Il réalise vite que la ville de ses rêves n’est pas aussi accueillante qu’il croyait. Par chance, il rencontre la famille Brown et en devient peu à peu un membre à part entière.

  • mercredi 27 janvier

Nouméa – Parc du Receiving /Georges Brunelet

Divergente 2

de Robert Schwentke
avec Shailene Woodley, Theo James

Dans un monde post-apocalyptique où la société a été réorganisée autour de 5 factions (Audacieux, Érudits, Altruistes, Sincères et Fraternels), Tris a mis au jour un complot mené par la faction dominante, les Érudits, dirigés par Jeanine. Abandonnant une ville à feu et à sang, à la recherche d’alliés, Tris et Quatre sont désormais traqués par les autorités. Jeanine décrète la loi martiale pour anéantir les Divergents, tandis que la guerre entre les factions prend de l’ampleur. Pourquoi les Divergents sont-ils une menace pour la société ? La découverte d’un objet mystérieux, hérité du passé, pourrait bien bouleverser l’équilibre des forces…

  • jeudi 28 janvier

Boulouparis – Tribu de Kouergoa

Les Boxtrolls

de Graham Annable, Anthony Stacchi
avec Isaac Hempstead-Wright, Elle Fanning

Les Boxtrolls est une fable qui se déroule à Cheesebridge, une ville huppée de l’époque victorienne, dont la principale préoccupation est le luxe, la distinction et la crème des fromages les plus puants. Sous le charme de ses rues pavées, se cachent les Boxtrolls, d’horribles monstres qui rampent hors des égouts la nuit pour dérober ce que les habitants ont de plus cher : leurs enfants et leurs fromages. C’est du moins la légende à laquelle les gens de Cheesebridge ont toujours cru. En réalité les Boxtrolls sont une communauté souterraine d’adorables et attachantes créatures excentriques qui portent des cartons recyclés comme les tortues leurs carapaces. Les Boxtrolls ont élevé depuis le berceau un petit humain orphelin OEuf, comme l’un  des leurs, explorateur de décharge et collectionneur de détritus mécaniques.

Ils deviennent soudainement la cible d’un infâme dératiseur Archibald Trappenard qui voit dans sa disposition à éradiquer les trolls son ticket d’entrée au sein de la bonne société de Cheesebridge. La bande de bricoleurs au grand coeur doit alors se tourner vers celui dont ils ont adopté la responsabilité, ainsi qu’une jeune fi lle de la haute qui n’a pas froid aux yeux, Winnie afin de concilier leurs deux mondes, au gré des vents du changement… et du fromage…

  • jeudi 28 janvier

Nouméa – Plaine de jeux de Sainte Marie

La Face Cachée de Margo

de Jake Schreier
avec Nat Wolff, Cara Delevingne

D’après le best-seller de John Green, La Face Cachée de Margo est l’histoire de Quentin et de Margo, sa voisine énigmatique, qui aimait tant les mystères qu’elle en est devenue un. Après l’avoir entraîné avec elle toute la nuit dans une expédition vengeresse à travers leur ville, Margo disparaît subitement – laissant derrière elle des indices qu’il devra déchiffrer. Sa recherche entraîne Quentin et sa bande de copains dans une aventure exaltante à la fois drôle et émouvante. Pour trouver Margo, Quentin va devoir découvrir le vrai sens de l’amitié… et de l’amour.

  • vendredi 29 janvier

Nouméa Anse Vata – Les jardins de la Promenade

Mission : Impossible – Rogue Nation

de Christopher McQuarrie
avec Tom Cruise, Jeremy Renner

L’équipe IMF (Impossible Mission Force) est dissoute et Ethan Hunt se retrouve désormais isolé, alors que le groupe doit affronter un réseau d’agents spéciaux particulièrement entraînés, le Syndicat. Cette organisation sans scrupules est déterminée à mettre en place un nouvel ordre mondial à travers des attaques terroristes de plus en plus violentes. Ethan regroupe alors son équipe et fait alliance avec Ilsa Faust, agent britannique révoquée, dont les liens avec le Syndicat restent mystérieux. Ils vont s’attaquer à la plus impossible des missions : éliminer le Syndicat.

  • samedi 30 janvier

Île des Pins Vao – Place du marché

Le Hobbit, la Bataille des Cinq Armées

de Peter Jackson
avec Martin Freeman, Richard Armitage

Atteignant enfin la Montagne Solitaire, Thorin et les Nains, aidés par Bilbon le Hobbit, ont réussi à récupérer leur royaume et leur trésor. Mais ils ont également réveillé le dragon Smaug qui déchaîne désormais sa colère sur les habitants de Lac-ville. A présent, les Nains, les Elfes, les Humains mais aussi les Wrags et les Orques menés par le Nécromancien, convoitent les richesses de la Montagne Solitaire. La bataille des cinq armées est imminente et Bilbon est le seul à pouvoir unir ses amis contre les puissances obscures de Sauron.


3,2,1…c’est parti pour les inscriptions !

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Ecrit le 26 janvier 2016 par la province Sud
L’inscription à une formation post bac en Métropole est toujours une étape cruciale et parfois stressante dans la vie d’un étudiant. Lettre de motivation, CV, choix de l’établissement…l’inscription peut s’apparenter à un parcours du combattant. C’est pour éviter de faire la moindre erreur que Brian Gouetcha, jeune bachelier de 18 ans, a décidé de suivre le parcours d’accompagnement proposé par la province Sud.

Les bureaux de la DES, transformés pour l’occasion en ateliers d’inscription avec ordinateurs, accès à internet, imprimantes, connexion wifi, ont fait salle comble en cette première journée d’ouverture. Brian, Kelly et les autres étudiants présents ont en effet choisi de suivre le parcours d’accompagnement mis à leur disposition par la province Sud, tout comme les 120 autres jeunes inscrits aux ateliers. « J’ai réussi mon bac pro maintenance véhicule industriel et je voudrais partir faire un BTS maintenance et après-vente des engins de travaux publics en Métropole » explique Brian Gouetcha, 18 ans. « Je suis boursier et j’ai assisté à la réunion d’information du 18 janvier. Là j’ai appris qu’on pouvait avoir de l’aide alors je me suis inscrit aux ateliers. » 

L’angoisse de la lettre de motivation

« Pour les inscriptions en BTS je dois faire une lettre de motivation et cela me stresse car je sais que c’est un élément important, en plus du CV et des résultats scolaires » ajoute-t-il. Edith Marcuzzo du service des bourses et aides aux élèves et étudiants est présente à ses côtés pour lui délivrer les indispensables conseils : « écrit toutes tes compétences, les stages que tu as fait, les diplômes que tu as obtenus, et ensuite nous ferons le tri pour mettre en avant ce qui est important pour le BTS que tu demandes. » Pour Kelly Neimbo, 21 ans, le contexte est différent car cette jeune étudiante qui postule à une licence professionnelle en ressources humaines et management des organisations à Toulouse, a déjà effectué un stage en Europe. « Je viens m’inscrire ici car les procédures d’inscription sont différentes pour chaque établissement et il y a des points spécifiques qu’il ne faut pas rater. Du coup, les agents de la DES sont là pour m’aider et me guider» explique-t-elle.

Une relation privilégiée

Ces ateliers d’accompagnement sont ouverts depuis le 25 janvier, avec l’ouverture d’Admission post-bac et se terminent mi-mars. 10 ordinateurs fixes sont à disposition des étudiants qui peuvent également venir avec leurs propres ordinateurs pour se connecter au réseau wifi. « Après le 15 mars, explique Edith Marcuzzo, nous recevons les étudiants sans rendez-vous, au fil de l’eau, toujours pour les guider et leur prodiguer des conseils. » C’est ainsi que, lors de ces ateliers, les étudiants sont conseillés et accompagnés sur les inscriptions, la demande de bourse Etat, la recherche de formation, la rédaction de lettre de motivation, la constitution des différents dossiers administratifs, mais également sur toutes les questions inhérentes au grand départ comme le logement, universitaire ou autre. Ce suivi individualisé constitue une relation privilégiée entre l’étudiant et l’institution, qui facilite les échanges une fois que l’étudiant est en métropole. « C’est vraiment important de se sentir soutenu dans notre projet départ car c’est quand même une grande aventure, conclut Brian,  et je serais présent au prochain rendez-vous, celui des ateliers de préparation au départ ».

 

Prenez l’initiative !

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Ecrit le 27 janvier 2016 par la province Sud
« Ca y est, je me lance, mais je ne sais pas comment m'y prendre ! » Vous avez une idée ? Vous voulez créer votre entreprise ? Participez à la Semaine du Microcrédit organisée par l’Adie, l’Association pour le droit à l’initiative économique, avec le concours de la province Sud, et vous aurez toutes les clés pour vous lancer.

« Mon idée est-elle viable ? Est-ce que j’ai le savoir-faire nécessaire pour monter cette entreprise et exercer l'activité en question ? Comment  je m’organise pour produire et vendre mes produits ou services ? A quel prix ? Comment je finance  mon projet ?... » Du 1er au 5 février, les locaux de la DEFE, la Direction de l’économie, de la formation et de l’emploi de la province Sud, à Ducos, ainsi que d’autres lieux dans le Grand Nouméa, la province Nord et les îles Loyauté, vont raisonner de toutes ces questions  que les candidats à la création se posent.

Des réunions d’informations collectives

2 réunions d’informations collectives, portant sur la conduite de projets et les dispositifs de l’Adie,  sont organisées le lundi 2 février, dans le hall de la DEFE à Ducos. Parallèlement, les agents du service du développement économique de la DEFE informeront sur les aides provinciales. La Semaine du Microcrédit se poursuivra, en province Sud, dans les autres communes du Grand Nouméa, avec des réunions d’information et des animations. Une occasion de recevoir le maximum d’informations en un seul lieu.

Qu’est-ce-que l’Adie ?

En 1999, la province Sud a favorisé l’implantation d’une délégation régionale de l’Adie sur son territoire afin de financer et d’accompagner les personnes exclues du marché du travail et du système bancaire dans leur projet de création et de développement d’activité économique.

L’Adie propose ainsi des microcrédits professionnels destinés aux micro-entreprises. Ces prêts peuvent être couplés à une subvention provinciale dans le cadre du code des aides pour le soutien de l’économie en province Sud (CASE). Par ailleurs, l’association propose également, depuis 2009, des microcrédits personnels à l’attention des travailleurs précaires et des demandeurs d’emplois afin de leur permettre de couvrir les dépenses liées à la mobilité, la recherche, l’obtention ou le maintien dans l’emploi.

Près de 300 microcrédits octroyés chaque année

297 prêts ont été décaissés en 2015 pour un montant de 182,6 Millions de F.

Concrètement, cela  signifie que pour 1 franc de subvention de fonctionnement versé  à l’ADIE, 5,4 francs sont  injectés dans l’économie en province Sud.  Le budget de fonctionnement de l’ADIE en province Sud pour l’exercice 2015 était de 58 millions de F. La dotation de fonctionnement 2016 sollicitée à la province Sud reste, quant à elle, inchangée depuis 2011 et s’établit à 35 millions de F. Au total, l’effectif de l’Adie dédié à ses missions en province Sud est de 11 personnes.

1 800 personnes au Parc Zoologique et Forestier pour "Un été au ciné"

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et illustré par LNC
Ecrit le 27 janvier 2016 par la province Sud
Succès non démenti pour l’opération "Un été au ciné" qui continue sur sa lancée. Point d’orgue de ce véritable festival en plein air, la séance du 20 janvier au Parc Zoologique et Forestier a rassemblé 1 800 personnes, dont de très nombreux enfants déguisés. Il faut dire que le film projeté ce soir-là « Les Minions », s’y prêtait tout particulièrement.

A ce jour, ce ne sont pas moins de 6300 spectateurs, amoureux des écrans géants, qui se sont déplacés pour profiter de la magie du cinéma sous les étoiles.

Que ce soit à Yaté, à N’Dé sur Païta, à Farino ou sur la plage de Carcassonne au Mont Dore, cette troisième semaine est un succès.

L’opération continue jusqu’au 7 février alors venez nombreux pour faire une cure de cinéma en plein air!

Décodez l’environnement !

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Ecrit le 28 janvier 2016 par la province Sud
Le code de l'environnement de la province Sud peut parfois sembler austère et réservé aux spécialistes… Mais il devient vite un outil indispensable à qui veut connaitre la réglementation environnementale provinciale. N’hésitez donc plus à le consulter !

Le code de l’environnement représente la colonne vertébrale de la politique environnementale de la province Sud. Adopté en mars 2009, il permet de rendre le droit de l’environnement beaucoup plus lisible et performant. Mais, tout comme les enjeux et les préoccupations environnementales évoluent, les réglementations font de même. Les deux dernières modifications en date, issues des délibérations de juin et d’octobre 2015[1] visent à codifier les 2 axes majeurs de la politique environnementale provinciale que sont la transparence sur les données et décisions en la matière et la limitation des impacts sur l’environnement.

Plus de transparence sur les données et décisions environnementales

« Toute personne a le droit, dans les conditions et les limites définies par la loi, d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l'élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l'environnement». C’est ce qu’affirme l’article 7 de la charte de l’environnement adossée à la Constitution le 1er mars 2005. Le principal objectif poursuivi par la délibération du 26 juin 2015  est de traduire concrètement ce principe de transparence. Le code prévoit désormais un renforcement de l’obligation de réaliser une étude ou une notice d’impact environnemental. De plus, ces études et notices doivent être mises à disposition du public, même lorsqu’aucune enquête publique n’est requise.  Enfin, une procédure permettant au public de faire connaître ses observations, dont le service instructeur devra faire la synthèse avant qu’une décision soit prise, doit être instaurée.

C’est ce même principe constitutionnel de transparence qui a conduit l’exécutif, ces derniers mois, à ouvrir sur le site internet de la province deux nouvelles rubriques : une rubrique « ICPE », qui permet aux citoyens d’accéder à l’ensemble des documents disponibles à la Direction de l’Environnement de la province Sud et à la Direction de l'Industrie, des Mines et de l'Energie de la Nouvelle-Calédonie, relatifs aux installations déclarées ou autorisées en province Sud (dossiers de demande ou de déclaration, arrêtés, mises en demeure, études, etc.), ainsi qu’une rubrique « consultations publiques », qui permet de s’informer sur l’objet et les modalités des enquêtes et de télécharger les dossiers d’enquête.

Mieux limiter les impacts sur l’environnement

L’étude d’impact constitue l’outil privilégié de la mise en œuvre de trois principes constitutionnels du droit de l’environnement : le principe de prévention (article 3 de la charte de l’environnement), le principe pollueur-payeur (article 4) et le principe d’information et de participation du public (article 7). À cet égard, l’étude d’impact, lorsqu’elle est exigée, fait partie intégrante du dossier d’enquête publique, quand le projet concerné suppose une enquête publique.

Les modifications du code adoptées par l’assemblée de province le 26 juin 2015 accentuent fortement, autour de cinq axes, le lien entre étude d’impact et participation du public : extension du champ d’application de l’obligation d’une étude d’impact ; évolution du contenu de l’étude d’impact afin de mieux prendre en compte la complexité des situations traitées ; introduction du cadrage préalable, ou phase de préparation de l’étude d’impact, en particulier pour les projets d’ampleur ; décision d’autorisation ou d’approbation plus détaillée sur les questions d’environnement, et enfin renforcement de l’information du public.

 


[1]La Délibération de l’assemblée de province n° 17-2015/APS du 26 juin 2015 portant diverses modifications du code de l’environnement de la province Sud, applicable depuis début janvier.

La Délibération du bureau de l’assemblée de province n°540-2015/BAPS/DJA du 20 octobre 2015 portant diverses modifications du code de l’environnement de la province Sud, JONC n° 9208 du 29 octobre 2015, p. 10214, applicable en avril 2016.

Thio sous le signe de l’insertion

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Ecrit le 29 janvier 2016 par la province Sud
C’est sous le chaud soleil de Thio et les applaudissements de la tribu réunie pour l’occasion que le chantier d’insertion de Saint-Joseph a été inauguré, en présence de Martine Lagneau, première vice-présidente de la province Sud.

L’émotion était palpable à la tribu de Saint-Joseph, en ce vendredi 29 janvier. Non seulement dans les discours des différents intervenants mais également dans les yeux des 7 stagiaires. Car un chantier d’insertion ce n’est pas seulement un groupe de jeunes qui, de long mois durant, travaillent ensemble à bâtir une cuisine, des sanitaires, ou une maison commune… Un chantier d’insertion c’est surtout la fierté du travail accompli, la fierté d’avoir acquis et développé des compétences. C’est un tremplin pour l’avenir.

La fierté du travail accompli

Fierté fut le maître-mot des discours d’inauguration. « Nous remercions la province Sud pour toute l’aide qu’elle  nous apporte, nous qui, comme notre côte, sommes souvent oubliés »,  déclare Joseph Oundo, président du Conseil des anciens du district de Borendy, avant d’ajouter : « Il faut aider nos jeunes car  nous sommes fiers de ce qu’ils ont fait. Il ne faut pas s’arrêter à ce chantier mais aller de l’avant. » Emotion et fierté également dans les mots de Martine Lagneau, première vice-présidente de la province Sud : « C’est avec beaucoup d’émotion que nous nous retrouvons ensemble ici pour ce quatrième chantier d’insertion effectué sur la commune depuis un an et demi. Nous sommes fiers de ce que vous avez tous accompli, stagiaires, encadrants, tribu, clans, mamans. Ces chantiers représentent une occasion d’apprendre un métier, de développer des compétences. Et cela représente aussi un espoir, celui de voir le tourisme se développer ici à Thio. » Le chantier inauguré consiste en effet en la construction d’une cuisine de 60,6 m² comprenant également une terrasse en préau. Les murs de la maison commune et du bloc sanitaire ont par ailleurs été repeints. L’association Géyra avait sollicité ce chantier en juillet 2009 afin d’accueillir diverses manifestations touristiques et culturelles tout au long de l’année.

Un tremplin pour l’avenir

Les 7 stagiaires de la tribu ayant participé à cette opération se déclarent tous très fiers de leur travail. « On a appris qu’il y avait un chantier par la MIJ et on a tout de suite eu envie d’y participer car cela aide notre tribu et c’est aussi bon pour nous. On travaillait de 7hà 11h30, puis de 13h à 16h30. Le chantier a démarré en juillet jusqu’en décembre », explique Terry Oundo, 22 ans, titulaire d’un CAP menuiserie. « On a travaillé sur la totalité du bâtiment et appris plein de nouvelles choses » précise-t-il tandis qu’Alexis Nékaré, 24 ans, titulaire d’un BEP mécanique,  ajoute : « moi je n’avais jamais fait de maçonnerie et de menuiserie et j’ai trouvé cela vraiment intéressant. Et puis, un chantier, ça redonne envie de travailler, de suivre une formation ou de monter un projet ». Cette volonté de ne pas s’arrêter à ce chantier est d’ores et déjà confirmée puisque sur les 7 stagiaires, 2 ont trouvé un emploi, 4 ont des projets de formation complémentaire  et 1 souhaite lancer sa propre activité. Pari réussi donc ? « Tout à fait, conclut Martine Lagneau, et ce chantier a une vrai valeur d’exemple puisqu’il a été mené à terme par le même groupe de stagiaires de A à Z et que le travail réalisé, du carrelage à l’équipement de la cuisine, en passant par la toiture, est tout simplement parfait ».

 

Martine Lagneau, 1ère vice-présidente de la province Sud, entourée des 7 stagiaires, Ourignat Johan, Oundo Teddy, Oundo Ferdinand, Oundo William, Nekare Alexis, Tonhoueri Lionel et Kainda Gérard.

 

 

 

Le chiffre

Ce chantier d’insertion a été financé intégralement par la province Sud, à hauteur de

14 530 598F.

 

Les partenaires

Le Service de médiation, de l’insertion et de la prévention de la direction de l’Économie, de la Formation et de l’Emploi, pilote de l’opération,

La Mission d’Insertion des Jeunes,

L’Association PUMAWA qui a organisé la restauration des stagiaires et de l’encadrant technique d’insertion,

L’association calédonienne pour le travail et l’insertion vers l’emploi (ACTIVE) qui a assuré la réalisation de l’ouvrage et la formation des stagiaires.

Objectif réussi pour les centres de vacances ou de loisirs !

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Ecrit le 1 Février 2016 par la province Sud
Les grandes vacances scolaires tirent doucement à leur fin. C’est le moment choisi par la province Sud pour rendre visite aux centres de vacances ou de loisirs. Une visite de courtoisie menée par Silipeleto Muliakaaka, président de la commission de la jeunesse, des sports et des loisirs. L’occasion de sonder la température sur le terrain et de constater le bon fonctionnement de ces structures.

Vendredi matin, la petite délégation provinciale a commencé sa tournée des centres de vacances ou de loisirs (CVL) à l’école Champmoreau, à Tuband. Elle a été reçue par la directrice de l’ACAF, Felihita Seleone. Cette dernière a présenté à Silipeleto Muliakaaka, président de la commission de la jeunesse, des sports et des loisirs de la province Sud, les diverses activités proposées aux enfants de 4 à 12 ans. « Est-ce que vous êtes contents de vos animateurs ? » interroge malicieux l’élu à une trentaine d’enfants sous le préau. Un grand oui explose en chœur ! Le temps d’une photo et les représentants de la Province se dirigent au Kuendu beach où plusieurs centres de loisirs passent la dernière journée de la semaine. Au programme : chant, jeux et activités nautiques. C’est une journée détente, placée sous le signe de l’amusement ! Le centre de loisirs Trouillot de la Rivière-Salée a entonné un chant de bienvenue puis un second en langage des signes « Je vole » interprété par Louane dans le film La famille Bélier. Cette performance en langage des signes a beaucoup ému l’élu qui a tenu à les remercier et à féliciter l’équipe d’animateurs pour leur travail auprès des enfants.

 

Favoriser la mixité

Cette rencontre est aussi l’occasion d’échanger avec les professionnels de l’animation sur le fonctionnement des CVL, ainsi que sur les question d’hygiène et de sécurité. « Nous n’avons eu aucune intoxication ni aucune blessure» rassure Pierre Walepa, président de la FOL. Les CVL sont aussi des lieux où la citoyenneté se construit souligne ce dernier : « Notre mission en tant que structure laïque est d’inculquer les valeurs de solidarité, de partage et de respect de la différence. A travers les activités que nous mettons en place, nous essayons toujours de favoriser la mixité, qu’elle soit sociale, culturelle ou intergénérationnelle. C’est pourquoi, nous réservons toujours des places dans nos centres à des enfants en situation d’handicap. »

Enfin, la visite s’achève par l'association Les Villages de Magenta qui a  investi les waterslides du Kuendu beach.  « Je suis satisfait de ce que j’ai pu voir aujourd’hui ! s’exprime enthousiaste Silipeleto Muliakaaka. Les enfants sont épanouis et en sécurité. Ils sont encadrés par des animateurs volontaires et passionnés, qui débordent de créativité et d’imagination pour rendre leurs vacances magiques ! »

Le président de la commission de la jeunesse, des sports et des loisirs a également eu l’occasion de se rendre compte de la qualité éducative des actions menées au sein des centres visités. Grâce à l’appui de la province Sud, les centres de vacances ou de loisirs peuvent bénéficier de l’intervention de professionnels de qualité. Ces intervenants permettent aux enfants de passer un agréable moment éducatif de loisirs.

 

Programme du 1er au 7 février

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Ecrit le 1 Février 2016 par la province Sud
A ne pas manquer Un été au ciné avec le programme de cette semaine dans les communes de la province Sud !
  • Lundi 1er février

REPORT du 26 janvier à Dumbéa-sur-mer -  Maison de quartier Apogoti

Pixels

de Chris Columbus
avec Adam Sandler, Michelle Monaghan

À l’époque de leur jeunesse, dans les années 80, Sam Brenner, Will Cooper, Ludlow Lamonsoff et Eddie « Fire Blaster » Plant ont sauvé le monde des milliers de fois… en jouant à des jeux d’arcade à 25 cents la partie. Mais aujourd’hui, ils vont devoir le faire pour de vrai… Lorsque des aliens découvrent des vidéos d’anciens jeux et les prennent pour une déclaration de guerre, ils lancent l’assaut contre la Terre. Ces mêmes jeux d’arcade leur servent de modèles pour leurs attaques. Cooper, qui est désormais Président des États-Unis, fait alors appel à ses vieux potes pour empêcher la destruction de la planète par PAC-MAN, Donkey Kong, Galaga, Centipede et les Space Invaders… Les gamers pourront compter sur l’aide du lieutenant-colonel Violet Van Patten, une spécialiste qui va leur fournir des armes uniques…

 

  • Mardi 2 février

La Foa - place publique

La légende de Manolo

De Jorge R. Gutierrez

Avec Diego Luna, Zoe Saldana, Channing Tatum

A partir de 6 ans

Depuis la nuit des temps, au fin fond du Mexique, les esprits passent d’un monde à l’autre le jour de la Fête des Morts. Dans le village de San Angel, Manolo, un jeune rêveur tiraillé entre les attentes de sa famille et celles de son cœur, est mis au défi par les dieux. Afin de conquérir le cœur de sa bien-aimée Maria, il devra partir au-delà des mondes et affronter ses plus grandes peurs. Une aventure épique qui déterminera non seulement son sort, mais celui de tous ceux qui l’entourent.

Nouméa - Place des Cocotiers

Un peu, beaucoup, aveuglément

De Clovis Cornillac

Avec Clovis Cornillac, Mélanie Bernier, Lilou Fogli

Lui est inventeur de casse-têtes. Investi corps et âme dans son travail, il ne peut se concentrer que dans le silence. Elle est une pianiste accomplie et ne peut vivre sans musique. Elle doit préparer un concours qui pourrait changer sa vie. Ils vont devoir cohabiter sans se voir...

  • Mercredi 3 février

Thio - musée de la mine

Paddington

De Paul King

Avec Guillaume Gallienne, Hugh Bonneville, Sally Hawkins

A partir de 3 ans

Paddington raconte l'histoire d'un jeune ours péruvien fraîchement débarqué à Londres, à la recherche d'un foyer et d'une vie meilleure. Il réalise vite que la ville de ses rêves n'est pas aussi accueillante qu'il croyait. Par chance, il rencontre la famille Brown et en devient peu à peu un membre à part entière.

 

Nouméa - plage de Magenta

Papa ou maman

De Martin Bourboulon

Avec Marina Foïs, Laurent Lafitte, Alexandre Desrousseaux

Florence et Vincent Leroy ont tout réussi. Leurs métiers, leur mariage, leurs enfants. Et aujourd’hui, c’est leur divorce qu’ils veulent réussir. Mais quand ils reçoivent simultanément la promotion dont ils ont toujours rêvée, leur vie de couple vire au cauchemar. Dès lors, plus de quartier, les ex-époux modèles se déclarent la guerre : et ils vont tout faire pour NE PAS avoir la garde des enfants.

  • Jeudi 4 février

Nouméa - Centre culturel Tjibaou

Selma

De Ava DuVernay

Avec David Oyelowo, Tom Wilkinson, Carmen Ejogo

Selma retrace la lutte historique du Dr Martin Luther King pour garantir le droit de vote à tous les citoyens. Une dangereuse et terrifiante campagne qui s’est achevée par une longue marche, depuis la ville de Selma jusqu’à celle de Montgomery, en Alabama, et qui a conduit le président Jonhson à signer la loi sur le droit de vote en 1965.

 

  • Vendredi 5 février

Nouméa - esplanade de l'Aquarium

Pourquoi j'ai pas mangé mon père

De Jamel Debbouze

Avec Jamel Debbouze, Mélissa Theuriau, Arié Elmaleh

A partir de 6 ans

L’histoire trépidante d’Édouard, fils aîné du roi des simiens, qui, considéré à sa naissance comme trop malingre, est rejeté par sa tribu. Il grandit loin d’eux, auprès de son ami Ian, et, incroyablement ingénieux, il découvre le feu, la chasse, l’habitat moderne, l’amour et même… l’espoir. Généreux, il veut tout partager, révolutionne l’ordre établi, et mène son peuple avec éclat et humour vers la véritable humanité… celle où on ne mange pas son père.

 

  • Samedi 6 février

Moindou - tribu de Table Unio

Les Boxtrolls

De Graham Annable, Anthony Stacchi

Avec Isaac Hempstead-Wright, Elle Fanning, Ben Kingsley

A partir de 10 ans

Les Boxtrolls est une fable qui se déroule à Cheesebridge, une ville huppée de l’époque victorienne, dont la principale préoccupation est le luxe, la distinction et la crème des fromages les plus puants. Sous le charme de ses rues pavées, se cachent les Boxtrolls, d’horribles monstres qui rampent hors des égouts la nuit pour dérober ce que les habitants ont de plus cher : leurs enfants et leurs fromages. C’est du moins la légende à laquelle les gens de Cheesebridge ont toujours cru. En réalité les Boxtrolls sont une communauté souterraine d’adorables et attachantes créatures excentriques qui portent des cartons recyclés comme les tortues leurs carapaces. Les Boxtrolls ont élevé depuis le berceau un petit humain orphelin OEuf, comme l’un  des leurs, explorateur de décharge et collectionneur de détritus mécaniques. 

Ils deviennent soudainement la cible d’un infâme dératiseur Archibald Trappenard qui voit dans sa disposition à éradiquer les trolls son ticket d’entrée au sein de la bonne société de Cheesebridge. La bande de bricoleurs au grand coeur doit alors se tourner vers celui dont ils ont adopté la responsabilité, ainsi qu’une jeune fi lle de la haute qui n’a pas froid aux yeux, Winnie afin de concilier leurs deux mondes, au gré des vents du changement... et du fromage...

  • Dimanche 7 février

Nouméa - plage du Méridien (clôture)

Seul sur Mars
 
De Ridley Scott

Avec Matt Damon, Jessica Chastain, Kristen Wiig

Lors d’une expédition sur Mars, l’astronaute Mark Watney (Matt Damon) est laissé pour mort par ses coéquipiers, une tempête les ayant obligés à décoller en urgence. Mais Mark a survécu et il est désormais seul, sans moyen de repartir, sur une planète hostile. Il va devoir faire appel à son intelligence et son ingéniosité pour tenter de survivre et trouver un moyen de contacter la Terre. A 225 millions de kilomètres, la NASA et des scientifiques du monde entier travaillent sans relâche pour le sauver, pendant que ses coéquipiers tentent d’organiser une mission pour le récupérer au péril de leurs vies.

 

 


Ça cartonne !

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Ecrit le 1 Février 2016 par la province Sud
Un été au ciné termine sa quatrième semaine de programmation avec un succès non démenti.

Les  7 séances de toiles sous les étoiles de la semaine dernière, du 27 au 31 janvier, ont réuni pas moins de 1700 personnes. Ce qui porte à 8 000 le nombre de spectateurs depuis le début de l’opération.

De Boulouparis à Nouméa, en passant par l’Ile des Pins, la caravane cinéphile a donc effectué sa tournée des communes de la province Sud, pour le plus grand bonheur des amateurs de films en plein air.

Et ce n'est pas fini... Il vous reste encore cette semaine pour passer votre été au ciné !

"Divergente 2" au parc du Receiving Georges-Brunelet

"Mission Impossible - Rogue Nation" aux jardins de la Promenade, Anse-Vata

Créer son propre emploi

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Ecrit le 2 Février 2016 par la province Sud
L’effervescence était palpable dans les locaux de la Direction de l’Economie, de la Formation et de l’Emploi de la province Sud, la DEFE, en ce premier lundi du mois. Car, en sus des demandeurs d’emplois, la DEFE accueillait également l’Association pour le droit à l’initiative économique, l’ADIE, pour 3 réunions collectives d’information.

Ces deux réunions d’information, ouvertes à tous, marquent le top départ de la Semaine du Microcrédit, ce rendez-vous incontournable de tous les porteurs de projets qui souhaitent créer leur entreprise.

Salle comble pour les réunions d’information

« La DEFE nous accueille explique Guillaume Bernadeau de l’Adie, car, non seulement la province soutient l’Adie financièrement, mais également parce que la création de sa propre entreprise, et donc de son propre emploi, représente une alternative à la recherche d’un travail salarié ». Plus de 120 personnes avaient ainsi fait le déplacement, la plupart averties de l’évènement par un SMS envoyé par la province.  Les grandes étapes de la création d’un projet, de l’idée à sa création, en passant par sa viabilité financière et les aides octroyées par la province Sud, ont été balayées. 

 

Un accompagnement qui rassure

Une première information indispensable aux dires des participants. « J’ai une idée depuis quelque temps, explique ainsi Marie, mais je ne sais pas par où commencer. Aujourd’hui, cela m’a permis d’avoir une vue d’ensemble des démarches à effectuer et des questions à me poser ».« Moi, je veux me lancer dans une activité de transport, ajoute Pierre, mais je n’ose pas.Maintenant je sais que je peux être accompagné et cela me rassure ».

Il vous reste 4  jours pour participer à cette Semaine du Microcrédit, et pourquoi vous lancer et créer votre propre emploi.

Pour plus d’information retrouvez l’Adie sur sa page Facebook : Adie Nouvelle-Calédonie  ou contacter l’Adie au 05 05 55 (Numéro Gratuit)  et par Email à nouvellecaledonie@adie.org

Les zones humides pour notre avenir

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Ecrit le 2 Février 2016 par la province Sud
Vous ne le savez sans doute pas mais les zones humides ont un rôle vital à jouer pour l’avenir de la planète et de notre pays. Et si vous profitiez de cette journée du 2 février, la journée mondiale des zones humides, pour vous en soucier ?

Nous considérons souvent les zones humides comme des friches à drainer, remblayer, brûler et transformer. Ainsi, les études scientifiques montrent que 64 % de toutes les zones humides de la planète ont disparu depuis 1900. Sources d’eau douce, berceaux de la biodiversité, alimentation des nappes phréatiques, atténuation des changements climatiques… Les zones humides sont pourtant indispensables pour les avantages infinis ou «services écosystémiques» qu’elles procurent à l’humanité. Adoptée en 1971, la convention de Ramsar vise à assurer leur protection.

Les lacs du Grand Sud, un ensemble de zones humides classé à la convention Ramsar

En province Sud, c’est un ensemble de zones humides de près de 44 000 hectares qui est classé en tant que zones humides d’importance internationale depuis le 2 février 2014. En plus des magnifiques lacs du Grand Sud, cette zone comprend des rivières, des marais, des dolines et des systèmes karstiques qui constituent un formidable réseau jouant un rôle majeur dans la régulation du cycle de l’eau et de réservoir de biodiversité. De par l’isolement de la Nouvelle-Calédonie et les spécificités géologiques du Grand Sud, les nombreuses espèces de ce territoire présentent un fort taux d’endémisme. La flore et la faune doivent donc y être d’autant plus préservées. C’est également un espace sur lequel la ressource en eau est un enjeu pour les populations et le développement économique. La sécurisation de l’adduction en eau, la production d’énergie hydraulique, l’écotourisme et la sylviculture représentent les enjeux d’un développement durable du Grand Sud.

Le programme RESCUE pour gérer les zones humides

Classer c’est bien. Mais ce n’est qu’une première étape car il faut ensuite assurer la protection et la gestion de ces zones. La province Sud s’est ainsi engagée, dès cette année, dans la réalisation du plan de gestion Ramsar des lacs du Grand Sud avec le programme RESCCUE, pour « Restauration des services écosystémiques et adaptation au changement climatique », auquel l’ensemble des acteurs du Grand Sud, collectivités, populations locales, partenaires associatifs, scientifiques et économiques participeront. Ce programme doit permettre l’identification des priorités de cet espace qui seront traduites ensuite en mesures de gestion. Cette démarche participative contribuera à la définition du devenir du Grand Sud.

Les lacs du Grand Sud en chiffre

  • 2 février 2014 : classement des lacs du grand Sud
  • 43 970 ha classés à la liste
  • 8 plantes sur 10 dans le maquis miniers sont endémiques à la Nouvelle-Calédonie
  • ¾ des poissons d’eau douce endémiques de Nouvelle-Calédonie vivent dans les zones humides de la zone classée
  • 5 habitats existent dans la zone des lacs du grand Sud (maquis minier, forêt humide, marais, rivière, lac)

 

Les nouveaux directeurs d’école font leur rentrée

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Ecrit le 8 Février 2016 par la province Sud
C’est avec quelques jours d’avance que les directeurs nouvellement nommés font leur rentrée scolaire. Au programme, accompagnement personnalisé, formation spécifique et présentation de la Direction de l’Education de la province Sud…pour une rentrée en toute sérénité.

Ils sont 4 cette année ; 4 directeurs d’école nouvellement nommés qui vont faire leur première rentrée scolaire. « Etre directeur d’école, c’est un métier de plus en plus complexe, explique Gérard Malaussena, le directeur de l’Education de la province Sud, dans son mot d’accueil,  il faut être tout à la fois un manager, un directeur, un animateur, un pilote… ». Et c’est vrai qu’entre le pilotage pédagogique, les responsabilités relatives au fonctionnement de l'école et les relations avec les partenaires de l'école que sont les parents d'élèves mais également  l'ensemble des partenaires de l'action éducative, les tâches et les missions du  directeur d’école s’avèrent riches et nécessitent de fortes compétences.

Une rentrée sous le signe du numérique pour Marie-Christine Boullet

Directrice en poste depuis le 5 mai à l’école Louise Michel de Bourail, Marie-Christine Boullet, enseignante depuis 1993 dans cette même école, envisage cette première rentrée sans aucune appréhension : «  c’est vrai que c’est ma première rentrée en tant que directrice mais je connais parfaitement l’école, son fonctionnement, son équipe. Je suis entrée dans l’éducation par la petite porte, en tant que remplaçante, et, tous les 5 ou 6 ans, je me fixe un nouveau challenge. Le poste de directrice est donc pour moi un aboutissement naturel. Côté projet, je souhaite continuer à développer le numérique au sein de l’école. Nous avons déjà 3 TBI, tableaux blancs interactifs et je voudrais installer un ENT, espace numérique de travail, c’est-à-dire un ensemble intégré de services numériques qui offre à chaque usager (enseignant, élève, parent, personnel administratif, technique ou d'encadrement) un accès simple, dédié et sécurisé aux outils et contenus dont il a besoin pour son activité dans le système éducatif. »

 

Une rentrée en noir et blanc pour Mickaël Lelong

Pourquoi en noir et blanc ? « Parce que je souhaite mettre en place un projet sur l’apprentissage du jeu d’échec au sein de l’école » explique le tout nouveau directeur de l’école prioritaire Mauricette Devambez à Rivière-Salée. Professeur des écoles depuis 2008 à l’école La Rizière au Mont Dore, Mickaël avait envie de renouveau et de changement. « Et ce poste dans une école prioritaire, avec une équipe pédagogique très motivée, répond parfaitement à mes attentes. Je souhaite y développer ce projet d’apprentissage du jeu d'échecs à l'école, encouragé par une circulaire de l’Education nationale, car la pratique de ce jeu mobilise logique, stratégie, rigueur et capacité d'abstraction, tout en facilitant l'apprentissage de la citoyenneté par le respect des règles et d'autrui. »

 

Une rentrée sous le signe de la cohésion pour Stéphanie Laroque-Laborde

Institutrice depuis 30 ans, la nouvelle directrice de l’école Edmond Desbrosse à Kaméré a débuté sa carrière à Kouaoua, avant d’enchainer différents postes. Après 6 années à la Direction de l’éducation de la province Sud où elle s’occupe de la mise en œuvre du projet associatif  « Cure our kids NC » , dont le but est d’améliorer la qualité de vie des enfants calédoniens atteints de cancer et de leur famille, pendant leur évasan à Sydney, et après leur retour en Nouvelle-Calédonie, Stéphanie souhaitait revenir dans l’enseignement. « J’aborde cette rentrée à la fois sereinement et avec beaucoup d’entrain. L’équipe pédagogique de l’école est quasiment totalement nouvelle cette année et l’enjeu est de fédérer, de créer une cohésion. Il faut également réussir à impliquer les familles, comprendre les enjeux du quartier. Bref une rentrée passionnante. »

 

Une rentrée dans la continuité pour Isabelle Perrin

16 classes, 388 élèves, c’est à la tête du groupe scolaire de Plum qu’Isabelle Perrin va effectuer sa première rentrée scolaire en tant que directrice, en toute sérénité selon ses propres mots. « Je suis professeur des écoles en poste depuis 2006, tout d’abord à l’école Hélène Chaniel au Mont Dore, puis à l’école Henriette Gervolino, etc… En poste depuis 2014 à Plum, je connais déjà très bien l’établissement et je vais poursuivre dans la voie de mon prédécesseur qui reste d’ailleurs encore 15 jours pour m’accompagner. » Cette voie sera notamment celle du numérique puisque le groupe scolaire de Plum est sous le signe du numérique depuis déjà 5 ans.

Gageons que la rentrée des élèves sera aussi sereine que celle de leurs directeurs !

Thio versus Nouméa

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Ecrit le 9 Février 2016 par la province Sud
Clarisse et Maureen
La semaine à Nouméa pour les études et le week-end à Thio en famille. Maureen Moindou, 18 ans, partage son temps entre les deux communes. Symbiose ou grand écart ?

« Je viens de réussir mon bac gestion administrative au lycée Escoffier et je suis de retour à Thio pour les vacances, annonce Maureen, mais toute l’année je suis la semaine à Nouméa, en internat. » Entre la liberté que lui procure la vie à Nouméa et la quiétude rassurante d’une vie familiale à Thio, Maureen a fait son choix sans hésiter : ce sera Thio !

Hors de Thio, la liberté…mais l’appréhension du départ

« Nouméa c’est la liberté, surtout par rapport aux parents, à la famille. On peut aller au cinéma, au fast food, à la plage. Nouméa c’est aussi là où on fait des rencontres » précise la jeune fille en ajoutant : « c’est vrai aussi que j’aimerai voyager, sortir de Nouvelle-Calédonie, regarder un peu comment on vit ailleurs, en France par exemple. Mais cela me fait un peu peur, surtout de quitter la famille et le village, car ici on se connait tous et on s’entend vraiment bien. C’est pourquoi si je peux, je préfère rester vivre à Thio. » Cette peur du départ est d’ailleurs ce qui pousse Maureen à attendre avant de se décider pour le choix de ces études : « je ne sais pas encore exactement ce que je veux faire, partir ou pas, pour quelles études…C’est difficile de se décider. Donc pour le moment je reste ici et je prends mon temps. » Ce n’est pas la raison qui parle ici, mais bel et bien l’appréhension d’un départ. Et pour nombre de jeunes calédoniens, poursuivre ses études signifie départ et éloignement de la famille.

Rester à Thio, en famille

Une qualité de vie à Thio que Maureen apprécie pleinement :« Nous sommes 13 quartiers et 3 tribus. On se retrouve au village ou lors des coutumes, des animations. Et même si la commune manque de structures, comme une maison pour les jeunes par exemple, moi je préfère vivre ici. » Vivre ici à Thio plutôt qu’à Nouméa alors que la Capitale est considéré comme un espace de liberté ? « Oui, car ici c’est chez moi et c’est là que vie ma famille. Et la famille c’est plus important que tout ! »

La délinquance à Thio, une vraie souffrance

Les faits de délinquance à Thio sont sur toutes les bouches et représentent une vraie souffrance pour les jeunes. « Cela nous touche et nous fait très mal quand on voit la première page des Nouvelles sur Thio. C’est comme si on nous mettait une étiquette. » Mais, à côté de cette souffrance, la jeune étudiante avoue aussi : « c’est à nous de changer cette image, à nous et aux parents des enfants qui font ces actes car l’éducation commence à la maison. Ce n’est pas aux coutumiers ou à l’école d’élever les enfants, mais bien aux parents. »

Une coutume rassurante

Parfois dénoncée comme une contrainte ou un poids, la coutume semble être vécue naturellement au quotidien par Maureen : « la coutume démarre dès la naissance, avec le tonton qui donne le souffle de vie, et elle nous accompagne toute notre vie. On ne peut pas vivre sans elle mais en même temps, on n’y pense plus car elle fait partie intégrante de nous. Moi je le vis très bien, ce n’est pas une contrainte, au contraire, c’est rassurant. »

Record battu pour un été au ciné !

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Ecrit le 9 Février 2016 par la province Sud
2016 sera l’année du record pour cette opération de cinéma gratuit en plein air. 11 841 spectateurs ont en effet choisi la magie des toiles sous les étoiles.

Le kiosque à musique, la plage du Méridien, le Parc Zoologique et Forestier, la plage de Carcassonne…mais aussi la tribu de Koindé, le terrain de foot de Poya, la tribu de N’dé, la médiathèque de Yaté, la place du marché de Vao…. Autant de lieux investis par les amoureux du 7ème Art, petits et grands.

Une 12èmeédition riche en émotion

33 séances en plein air dans 19 communes et tribus de la province Sud, 23 films projetés ; du « Dernier Loup » à « Seul sur Mars » en passant par « Paddington », « Les Boxtrolls » ou « Le Hobbit, la Bataille des Cinq Armées », cette douzième édition a fait le plein d’émotions avec en point d’orgue la séance du 20 janvier au Parc Zoologique et Forestier qui a réuni 1 800 spectateurs devant le film « Les minions ».

Toujours plus de nouveauté

L’année 2016 aura également été celle de l’innovation avec des soirées à thème, des animations, des concours de déguisements et des cadeaux.

Un véritable succès populaire donc pour cette opération, débuté le 3 janvier et clôturé le 7 février à la plage du Méridien en présence de Martine Lagneau, 1ère vice-présidente de la province Sud qui a rappelé que: " l’objectif est de permettre aux spectateurs d’accéder au 7ème Art dans une ambiance conviviale et familiale  à travers des films qui ont rencontré un vif succès auprès du public au cours de l’année".

Une saison intense

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et illustré par Ellen Van Hove
Ecrit le 9 Février 2016 par Véronique Mézille
« L’intense saison », tel est le nom de la programmation 2016 du Théâtre de l’ile, présentée lundi 8 février. Un nom en forme de boutade ? Très certainement au vu du mot d’accueil du directeur et programmateur, Dominique Clément-Larosière.

« Cette saison 2016, qui s’annonce dans un contexte peu favorable, notamment du point de vue économique, peut sembler morose sur le papier. Pas de tête d’affiche, 3 spectacles supprimés…et pourtant, cela sera sans doute une des saisons les plus intéressante, les plus intense » affirme le directeur. Parce qu’à bien y regarder, la qualité et l’originalité seront au rendez-vous.

Sous le signe de l’émotion

Des classiques revisités, tels que des « Fourberies de Scapin » qui pulsent, à la comédie grivoise « Elle voit des nains partout » qui vous fera découvrir une Blanche-Neige insoupçonnée, en passant par « Après une si longue nuit » qui fait entrer la Comédie-Française dans les murs du Théâtre de l’ile, les émotions, les rires et les pleurs raisonneront dans ce bâtiment,  temple de la culture.

Le soutien de la province Sud

Cette année encore, la province Sud apporte son soutien à la création artistique avec une enveloppe de 22 millions pour le Théâtre de l’ile qui permet notamment d’accueillir les deux magnifiques spectacles que sont  « L’illusion comique », de la compagnie locale Les Incompressibles,  « Le jour des meurtres dans l’Histoire d’Hamlet », de la compagnie locale Tandem et de soutenir la création, dans le cadre d’une résidence au Théâtre, de la pièce « Après une si longue nuit », mise en scène par un sociétaire de la comédie Française.

 


10/02/2016 - Déplacement des activités du centre nautique de la province Sud

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Descriptif: 

En raison des arrêtés municipaux d’interdiction de baignade en différents points de la côte (Baie-des-Citrons, Anse-Vata et Côte Blanche), dus à un risque sanitaire avéré, les activités du Centre nautique de la province Sud (le CAN) sont déplacées à l'îlot Uere, en baie de Sainte-Marie.

Thématique: 
Sports
Image visuel: 

Funky School à l’Ile des Pins

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et illustré par Fabrice Wenger
Ecrit le 11 Février 2016 par Véronique Mézille
Le mardi 9 février était placé sous le signe de la prévention et de la promotion de la santé à l’Ile des Pins. Le Centre médico-social (CMS) de la province Sud a en effet profité de la visite médicale de pré-rentrée scolaire obligatoire pour organiser une « Funky School : au pays des 5 sens », journée ludique et familiale de prévention.

« C’est une journée très importante en terme de prévention et de santé publique, annonce Marc Droetto, responsable du CMS de l’Ile des Pins, situé à Vao. Cette pré-rentrée nous permet de voir tous les enfants qui vont entrer à l’école et de faire un contrôle de leur poids, de leur taille, de l’état bucco-dentaire, de leurs vaccinations… »

Un parcours ludique

Voir le médecin, se faire examiner les dents, c’est parfois, voire souvent intimidant, surtout lorsque l’on a 3 ans ! Du coup, la DPASS, Direction provinciale de l’action sanitaire et sociale, a choisi de mettre en place un parcours ludique sur le thème des 5 sens. Les enfants ont été maquillés, sensibilisés au toucher, au goût, aux senteurs, à la vue, à l’ouïe. Des infirmières, des médecins, un dentiste, un orthophoniste, une sage-femme, une assistante sociale, une nutritionniste, mais également des conteurs et musiciens ont ainsi animé ces ateliers.

Pour toute la famille

Si cette journée a bien sûr pour objectif principal le contrôle de l’état de santé général des enfants, c’est aussi l’occasion de  mener des actions de prévention, d’information et de sensibilisation auprès des familles en matière de santé publique. Hygiène corporelle, bucco-dentaire, nutrition, orthophonie, mais également tabac, alcool…ont été abordés tout au long de la journée avec les parents et familles venus nombreux.

Pour une rentrée scolaire réussie

« Cette journée est un tout, pour tous les habitants de l’Ile, conclut le responsable du CMS. C’est l’occasion pour les enfants et leurs parents de rencontrer les professionnels du domaine médico-social, les autres élèves ainsi que les instituteurs. L’objectif est de donner envie à l’enfant de faire sa rentrée scolaire, de le sécuriser, ainsi que de familiariser les parents avec le dispensaire en rencontrant les professionnels de santé. »

Plus de 400 bacheliers récompensés

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et illustré par Ellen Van Hove
Ecrit le 12 Février 2016 par Véronique Mézille
La fierté se lisait sur leurs visages. Raymonde, Christelle, Gaël… et tous les autres bacheliers ayant obtenu une mention ont reçu leur récompense lors d’une très belle soirée organisée en leur honneur par la province Sud.

Cérémonie de remise de prix, félicitations officielles, chèques allant de 15 à 30 000 francs, la province Sud a mis les petits plats dans les grands pour récompenser ses 418 bacheliers ayant obtenu  une mention très bien ou bien, ou, pour les boursiers, une mention assez bien. Etudiants, parents, familles au grand complet… ils étaient nombreux, en cette soirée du  jeudi 11 février, à se presser au centre culturel Ko We Kara pour assister à cette cérémonie qui est devenu un rendez-vous incontournable.

Honorer la réussite de la jeunesse calédonienne

« Au nom de tous les élus de la province Sud, je tiens à vous féliciter tous pour vos résultats, a déclaré Gil Brial, deuxième vice-président de la province en s’adressant aux bacheliers présents. C’est important pour nous de mettre en valeur la jeunesse qui réussit, cette jeunesse dynamique, qui retrousse ses manches pour obtenir de si bons résultats. Rappelant que la Nouvelle-Calédonie est un pays jeune, à construire, il a engagé ces futurs étudiants à poursuivre leurs études, ici ou à l’étranger,« pour revenir occuper des postes à responsabilité dans notre pays ». Les parents, dont le rôle de soutien est primordial, n’ont pas été oubliés dans ces félicitations : « je m’associe à Gil Brial pour transmettre mes félicitations aux parents qui vous soutiennent et vous poussent et également rappeler que ce bac et cette mention constituent un sésame pour continuer dans les études supérieures » a ainsi poursuivi Monique Millet, présidente de la commission de l’enseignement de la province Sud.  C’est enfin le vice-recteur, Jean-Charles Ringard qui a tenu à saluer l’initiative de la province qui « marque ainsi son attachement à sa jeunesse pour la réussite de son territoire ».  Saluant les progrès accomplis depuis 3 ans, 39% de mention en plus, contre 8% en Métropole, il a également rappelé que « la jeunesse est une des richesse de la Nouvelle-Calédonie ».

« C’est juste un début »

Gaël Dechavassine, titulaire d’un bac S avec mention très bien, garde la tête sur les épaules. « Il faut travailler tout au long de l’année sans relâche pour obtenir une mention. Je pensais avoir réussi aux épreuves mais je n’étais pas certain de la mention. Je suis très fier de l’avoir obtenue même si je suis conscient que ce n’est qu’un début, une porte vers les études supérieures. J’entame dès lundi ma prépa en Math Sup au lycée Jules Garnier pour ensuite tenter les concours des grandes écoles. Je ne sais pas encore exactement quelles écoles j’aimerai intégrer mais ce dont je suis certain, c’est que la voie scientifique est ma voie ».

« Devenir orthophoniste »

Cette mention bien au bac ST2S, sciences et technologies de la santé et du social, est une réelle surprise pour Christelle Pachtem : « je pensais avoir totalement raté les épreuves donc je suis surprise et heureuse de cette mention. Il n’y a pas de secret, il faut bien travailler régulièrement toute l’année et être assidue aux cours. Maintenant je vais partir en Métropole pour faire une prépa et tenter les  concours des écoles d’orthophonie, pour ensuite revenir exercer en Nouvelle-Calédonie. Je trouve que cette cérémonie est vraiment un bel encouragement. »

« La fierté de ma famille »

Raymonde Ihmetreune,  boursière titulaire du bac pro gestion-administration, mention assez bien, se dit honorée de cette mention et du prix qui lui est remis : «cette cérémonie est un véritable encouragement à se battre pour obtenir une mention. Moi  j’en suis fière et toute ma famille, qui m’a toujours soutenue, également. Je vais mettre l’argent de côté car je vais poursuivre mes études avec un BTS en Métropole. Je crains un peu le départ mais je sais que cela va être une expérience enrichissante. Et puis, c’est pour mieux revenir ».

Le bac 2015

Un taux de réussite de  77,9 % caractérise le cru 2015 du bac. Mais surtout, un taux de réussite de 85,3 % pour le bac général  avec le cap des 1 000 admis dépassé pour la première fois en Nouvelle-Calédonie. C’est en série scientifique que la réussite a été la plus forte avec plus de 86%.

La cérémonie 2016 en chiffre

Parmi ces 418 bacheliers 2015 récompensés :

  • 78 ont obtenu la mention Très Bien et ont été récompensés d’un chèque de 30 000 F
  • 254 ont obtenu la mention Bien et ont été récompensés d’un chèque de 20 000 F
  • 86  bacheliers boursiers ont obtenu la mention Assez Bien et ont été récompensés d’un chèque de 15 000 F
  • Les filles restent majoritaires en nombre parmi les lauréats 2015, toutes mentions confondues (298 filles et 186 garçons).
  • Le bac scientifique (S) arrive en tête pour le nombre de lauréats avec mention Très Bien (45 lauréats soit 58%). 
  • Le bac pro domine sur la mention Bien (73) et sur les mentions Assez Bien parmi les boursiers.
  • Le coût global des récompenses représente 8 710 000 F pour la Province.

 

Sur le chemin de la rentrée scolaire

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et illustré par Ellen Van Hove
Ecrit le 12 Février 2016 par Véronique Mézille
Rendez-vous incontournable qui marque le début de l’année, la rentrée des classes se révèle pour beaucoup un moment important chargé d’émotion. C’est également le cas pour la province Sud, sa direction de l’éducation et ses 129 agents.

Cela fait maintenant plusieurs mois que les différents services de la direction de l’éducation de la province Sud sont à pied d’œuvre pour préparer cette rentrée scolaire 2016. Et la tâche n’est pas simple avec pas moins de 98 écoles maternelles et primaires, dont 25 prioritaires, qui accueillent 20 328 élèves ; 1 253 enseignants ; 20 collèges publics et 2 internats provinciaux.

Une priorité : la réussite scolaire

Rappelant les missions de la province Sud en matière d’éducation - gestion et rémunération des enseignants du primaire public, gestion des bourses et des allocations de rentrée scolaires, accompagnement des directeurs dans la gestion quotidienne de leur école, participation, dans ses domaines de compétence, à la protection de l’enfance et à la scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers (Classes CLIS, dispositif CLASSE, école de l’hôpital), financement des sorties et activités pédagogiques, soutien à l’accompagnement à la scolarité, etc…,  Gil Brial, deuxième vice-président de la province Sud, explique : «Par l’exposé de toutes ces missions, il faut comprendre que la jeunesse et la réussite scolaire reste une des priorités absolue de la province. Le budget dédié à l’éducation représente 27% du projet provincial total, soit environ 15 milliards. Et c’est le seul budget qui n’a pas été revu à la baisse en 2016 ». Un budget qui, pour moitié, va servir à assurer la rémunération des enseignants; l’autre moitié finançant, entre autres, les équipements numériques, l’accompagnement scolaire, les internats d’excellence, les bourses et aides scolaires ainsi que les projets pédagogiques. Parmi ceux-ci, le spectacle pédagogique Rififi et Médiation «qui a pour but de proposer aux enfants et aux enseignants des recettes pour lutter contre la violence. Ce spectacle, initié par la Ville de Nouméa l’an dernier, avait été très apprécié. Nous avons donc décidé, à la province Sud,  de prendre le relais et de le proposer à toutes les classes de CM1 des écoles publiques et privées.  Il y aura 25 représentations qui vont concerner 3 000 enfants de toutes les communes de la province » précise Monique Millet, présidente de la commission de l’enseignement de la province Sud.

Monique Millet, présidente de la commission de l'enseignement de la province Sud, Gil Brial, deuxième vice-président de la province Sud et Gérard Malaussena, directeur de l'éducation de la province Sud

Nom de code : ODI 4

L’école numérique continue sur sa lancée avec l’opération ODI 4, opération de développement de l’internet, qui assure le renouvellement complet du parc informatique en partenariat avec les communes. En outre, 76 nouvelles classes seront équipées d'un TBI, tableau blanc interactif,  ce qui représente plus de 330 enseignants disposant de cet outil, et plus d’un tiers  des classes équipées.  28 écoles disposent d'un accès à un ENT, espace numérique de travail, c’est-à-dire un ensemble intégré de services numériques qui offre à chaque usager (enseignant, élève, parent, personnel administratif, technique ou d'encadrement) un accès simple, dédié et sécurisé aux outils et contenus dont il a besoin pour son activité dans le système éducatif. L’opération « collège numérique » se poursuit également à Plum et dans d’autres collèges qui se verront équipés en vidéoprojecteurs interactifs, TBI, haut-parleurs et classes numériques mobiles.

Une direction en ordre de marche

Mais tout ceci ne serait rien sans les agents des différents services de la Direction de l’éducation, et notamment le bureau des bourses et aides scolaires qui a été renforcé et réorganisé pour recevoir au mieux les élèves et leurs familles. Et le résultat est au rendez-vous puisque les délais de réponse aux usagers ont été grandement réduits, l’accueil des familles est beaucoup plus fluide et le nombre de bénéficiaires de l’allocation spéciale de rentrée servis dès le 15 février a largement augmenté  (2.500 élèves en plus par rapport à 2015).

Tout est donc prêt pour une rentrée scolaire sereine avec la  réussite des élèves  à la clé !

Une nouvelle école à Dumbéa-sur-mer

C’est un peu le symbole de cette rentrée scolaire 2016 : la nouvelle école de Dumbéa-sur-mer « Michelle Delacharlerie-Rolly » ouvrira ces portes, en lieu et place de l’ancienne école qui avait été hébergée durant 1 an dans des modules préfabriqués. Effectuant une visite de courtoisie auprès de la directrice, Pascale Geoffroy, et de toute l’équipe pédagogique, Gil Brial, accompagné de Monique Millet et de la Direction de l’éducation, a déclaré  « cette magnifique nouvelle école prend place dans un quartier en pleine mutation, d’où son importance. Je souhaite à tous une bonne rentrée et que tout soit fait pour que les enfants soient heureux à l’école ».

 

Le chiffre de la rentrée : 1,3 milliard

Heureux hasard budgétaire, s’il n’y avait qu’un chiffre à retenir, ce serait celui d’1,3 milliard :

1,3 milliard de F d’investissements prévus dans les collèges ;

Un budget annuel de près d’1,3 milliard de F pour les bourses et aides scolaires ;

1, 3 milliards de F en fonctionnement pour les établissements privés.

 

Enquête publique relative à l'exploitation, par la société ADS NC, d’une plateforme de transit de déchets contenant de l’amiante

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Une enquête publique relative à l'exploitation, par la société ADS NC, d’une plateforme de transit de déchets contenant de l’amiante, sis tranche 2 zone IV de la zone industrielle, commune de Nouméa, est ouverte pour une durée de 15 jours à compter du lundi 15 février et clôturée le lundi 29 février 2016 à 15 heures 30.
Monsieur Jean-Alain Barateau, retraité militaire, est nommé commissaire enquêteur.

Le commissaire enquêteur assurera des permanences à la mairie de Nouméa, aux dates et horaires suivants :

-    lundi 15 février 2016 de 7 heures 30 à 9 heures 30 ;
-    Jeudi 18 février 2016 de 9 heures 30 à 12 heures 30 ;
-    Mercredi 24 février 2016 de 13 heures à 15 heures;
-    Vendredi 26 février 2016 de 9 heures 30 à 13 heures 30 ;
-    Lundi 29 février 2016 de 13 heures 30 à 15 heures 30.

Pour la durée de l’enquête, le public peut prendre connaissance du dossier sur le site internet de la province Sud ou aux jours ouvrables à l’exception du samedi :

-    au bureau des installations classées pour la protection de l’environnement – direction de l’environnement de la province Sud (téléphone : 20.34.33) – centre administratif de la province Sud, 6 route des artifices à Nouméa, de 8 heures à 11 heures 30 et de 12 heures 30 à 16 heures ;
-    à la mairie de Nouméa (téléphone : 05 00 80), de 7 heures 30 à 15 heures 30 du lundi au jeudi et de 7 heures 30 à 15 heures le vendredi.

Il peut déposer ses observations écrites sur un registre ouvert à cet effet à la mairie de Nouméa, ou par lettre simple ou recommandée adressée au commissaire enquêteur, à la direction de l’environnement – service des installations classées, des impacts environnementaux et des déchets – bureau des installations classées pour la protection de l’environnement – BP L1 – 98849 Nouméa cedex.

Période de consultation: 
du 15/02/2016 au 29/02/2016
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